Rap 221

Borru bandit du jeex (La dette d’un bandit ne finit jamais)

by Rap 221
avril 3, 2023

S’afficher avec Siteu on pourrait comprendre. Rencontrer Zarko ça peut se discuter. Parler avec Ada Fass, selon des rumeurs, même si c’est vrai on peut en discuter. Mais…, mais S’afficher avec Doff Ndéye ! en tant que fils du président, pas pour une œuvre de charité ni pour une activité officielle couverte, c’est une ligne qu’il ne fallait pas franchir.

Rappelez vous de Karim Amadou, avec sa toute puissance et ses voyages en jet privés. Rappelez vous de l’autre Karim, celui de IBK du Mali, ses liasses en dollars, ses escapades en Yacht de luxe, avec des filles blanches à peine couvertes.

Le pays est sous tension, la dernière chose dont votre père a besoin est le sentiment du fils détesté par son peuple. Et si El hadji Malick Seck est votre oncle, je me considère comme votre oncle. Bien avant votre naissance, en « pantia court jungle » sur les parquets de terrains de basket de Diourbel, nous avons passé du temps. Alors je m’en vais te dire comment cela va finir neveu si tu ne connais pas la rue, car elle ne répète que ce qu’elle sait faire.

C’est connu, les brigands se battent au moment du partage du butin. Quelque soit ce que tu leur aurais donné, cela ne va pas suffire. Il y’aura un malhonnête, dans les malhonnêtes qui prendra plus qu’il n’en faut. Il y’aura quelqu’un qui aura sa part mais dira que c’est insuffisant, il va y avoir certains qui vont prendre de force par la loi du « Allalu bëyti man » alors ce sera le clash. Ce sera le chantage, ils diront tout, ils se battront, peut être y’aura mort d’homme ou la formation de nouveau clans et gangs qui viendront te dire, ils feront mieux le boulot chacun avec force et arguments.

Oui, tu sais, derrière ton sourire, ceux qui bravent la misère au quotidien peuvent sentir le gène et la peur s’il suintent même à peine. Ils savent que tu n’es pas des leurs, ils savent quand ils te serrent la main que tu ne vis pas la misère de la cité de Dieu de Grand Yoff qui ne dort jamais. Ils vont profiter tout en sachant qu’ils ne te verront plus peut être, c’est juste une question de temps, mais ils chercherons à le retarder. Doff Ndéye l’a dit :Lifou bandit Lum la may ding koko fay.

A grand Yoff, il n’y a pas que des jeunes violents prêts à tout pour s’en sortir. Il y’a aussi des lumières comme Me Ngagne Demba Touré brillant et inspirant. Des billets de la peur contre des coûteux de la pauvret ? Malheureusement c’est comme si tu documentais sans le savoir avec images et témoins, qui n’ont pas leur langues dans leur poche, d’éventuels faits futurs qui pourraient être sujets à enquêtes.

Reste le chômeur dont ton pére parlais dans cet interview, passe incognito, car tu pourrais l’aider autrement. Doff Ndéye et les autres ne peuvent rien contre des jeunes qui voudraient manifester dans leurs quartiers. Sinon ce sera, je le crains, des pugilats de jeunes de même quartier voir de même maison.

Par MASS BLACK DIAMONDS

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Rap 221 avril 4, 2023

je suis ici pour parler de la liberté. La liberté est un mot simple mais puissant. C’est un idéal qui a guidé les peuples à travers l’histoire, leur donnant la force de se battre pour ce qu’ils croient être juste et équitable.

Dans notre nation, nous avons la chance de vivre dans un pays où la liberté est censée être un droit fondamental. Cependant, nous savons tous que ce n’est pas toujours le cas. La liberté est souvent menacée par des forces qui cherchent à la réduire ou à la supprimer complètement. Il est de notre devoir de lutter pour protéger et préserver cette liberté, pour nous-mêmes et pour les générations futures.

Nous avons vu ces derniers temps une augmentation de la censure et de la répression sur les réseaux sociaux et dans les médias traditionnels. Des voix dissidentes ont été réduites au silence, ou même emprisonnées, simplement pour avoir exprimé leurs convictions en faveur de la liberté.

Nous avons également vu une montée de l’extrémisme politique dans notre nation. Des groupes et des individus cherchent à imposer leur vision du monde à la majorité, sans égard pour la liberté ou les droits de ceux qui ne sont pas d’accord.

Ces menaces sont réelles et nous devons les combattre. Nous devons nous lever et défendre notre droit à la liberté d’expression, à la libre circulation des idées et des informations et à la liberté de pensée.

Nous devons également nous unir pour protéger les libertés de toutes les minorités dans notre société, y compris ceux qui ont des convictions politiques différentes, des orientations sexuelles différentes, de différentes croyances religieuses ou ethniques.

Si nous ne le faisons pas, nous risquons de perdre notre liberté. Nous risquons de donner aux forces qui cherchent à la réduire le pouvoir de dicter nos vies et de décider de notre avenir.

Nous devons donc rester vigilants et engagés. Nous devons lutter pour la liberté et nous rappeler que c’est l’un de nos droits les plus précieux. Si nous ne le faisons pas, nous ne serons jamais vraiment libres. Nous ne serons que des prisonniers de nos propres peurs et de nos propres divisions.

Nous devons être courageux et déterminés dans notre lutte pour la liberté. Nous devons nous unir comme une seule voix forte, et nous battre pour que notre nation reste un pays de liberté, d’égalité et de justice pour tous.
Un commentaire de Diallo Mountakha